Chaque individu est différent. Cela sous-entend que chaque personne possède un terrain qui lui est propre.
Mais au fait, tout le monde parle de terrain, mais, qui est capable d’en faire une définition vraiment cohérente ?
Pour ma part, je ne suis pas encore arrivé à en faire une qui me contente pleinement.
Le TERRAIN est probablement un équilibre complexe entre, à la fois, de données physiques et matérielles, de données énergétiques, et de données émotionnelles.
Comme la Terre, nous sommes constitués, d’éléments purs: métaux, acides aminés, eau, etc., mais aussi, comme elle, d’éléments impurs, instables, qui servent de « compost ». Nous y retrouvons, en particulier, les bactéries, l’air, la chaleur. Au sein de ce monde existe, comme sur notre planète, des cycles biologiques, des naissances, de la croissance, de l’épanouissement, mais aussi, des maladies, des destructions, de l’usure due au temps, et enfin la mort. Et tout cela évolue constamment comme au grés des saisons.
Mais ce n’est pas tout.
Le terrain, notre terrain, inclut aussi la mémoire de nos ascendants, de nos croyances, de notre religion.
Cet ensemble physique et émotionnel, mais aussi symbolique, façonne notre personnalité, notre caractère, notre mode de vie.
La création d’un être humain, de son corps, de son terrain, ne se fait pas par hasard. Chaque cellule a sa fonction, son rythme, son rôle, rôle qui lui revient par son lien de naissance.
Chaque être humain vient au monde « physique » muni d’un programme très complexe, que nous n’avons pas encore vraiment déchiffré.
Ainsi nous découvrons que chaque être vivant, quel qu’il soit, animal ou végétal, reçoit et émet constamment de l’énergie, et vibre continuellement, du fait d’une oscillation constante.
Définir les terrains prédisposés aux maladies par des examens biologiques est donc, à mon avis, une gageure. En fait, nous ne pouvons, en l’état de notre savoir actuel, qu’étudier une infime partie des désordres du terrain, terrain qui est, de plus, seulement physique. N’oublions pas la composante mentale, psychique, qui est encore une grande inconnue.
Cet ensemble, physique, émotionnel et symbolique façonne notre personnalité, notre caractère.
Il faudra bien qu’un jour, nous arrivions à étudier le terrain, les terrains, dans leurs composantes émotionnelles et vibratoires.
La recherche intérieure, des techniques nouvelles ou oubliées (comme les travaux de Lakhovsky), le permettront peut-être un jour ?
Aujourd’hui, modestement, nous resterons sur le plan physique et je vous présenterai quelques examens à notre disposition, utiles pour détecter des terrains prédestinés à des maladies graves, cancers, affections cardiovasculaires en particulier. Ces examens sont injustement mis de côté, oubliés. C’est regrettable.
Ce sont la bioélectronique de VINCENT, l’STP test (HEITAN-LAGARDE), la cancérométrie de VERNES, le Bilan CEIA de RAYMOND et col., la cristallisation sensible de STEINER, etc.
Vous remarquerez immédiatement que ces examens s’appuient TOUS sur l’étude des liquides chargés d’alimenter ou de détoxiquer l’organisme, c’est-à-dire, d’entretenir et maintenir votre terrain en bon état: Sang, Salive, Lymphe, Urines..
Mais, la science progresse rapidement, parfois avec succès, mais pas toujours sur des chemins justes ou fondés. La science est extrêmement jalouse et ne supporte pas les critiques. Pour cela, elle se débarrasse de ceux qui la gêne. De nos jours, la science médicale est dominée, dirigée, par les grands laboratoires pharmaceutiques et l’industrie.
Or, les examens que j’ai cité, sont des gêneurs car ils ne peuvent pas « rapporter » et drainer des milliards de dollars, comme le font certaines molécules, médicaments, ou vaccins..
Bien qu’anciens, ces examens sont encore extrêmement utiles à ceux qui savent les utiliser et les joindre aux examens et techniques nouvelles. De plus, il n’est pas interdit, que je sache, de les utiliser conjointement avec des examens nouveaux. Il faudrait se rappeler, par exemple, que malgré les progrès de la mammographie, de l’IRM et de l’échographie, la limite de visibilité des tumeurs du sein est toujours de 4 millimètres, au mieux!!! Plus de 40 ans de recherches et si peu de progrès?
Malgré l’éclosion de nouveaux médicaments, comme les anticorps monoclonaux, nos traitements antitumoraux ne donnent pas les résultats espérés et, on chiffre à 6 mois (en moyenne), l’allongement de la survie. Malgré cela, ils nous coutent très chers ! Car c’est nous qui mettons la main à la poche au bout du compte, l’industrie du médicament ne fait aucun cadeaux, pour sa part.
