Depuis de nombreuses années, ceci représente un concept évident pour les scientifiques sérieux et les gens capables de réfléchir quelque peu.
Aujourd’hui, face au Covid 19 et, devant un échec possible, sinon probable de la vaccination comme elle est pratiquée actuellement, devant le bilan des résultats et des effets secondaires (SEULEMENT IMMEDIATS) on peut réfléchir.
Posons-nous d’abord quelques questions :
On serait en droit de penser que les sujets de moins de 50 ans, en bonne santé, sportifs devraient mieux résister au covid et éviter les formes graves et l’hospitalisation. Ce n’est pas le cas comme le publie Jean-Laurent CASAVOVA et on n’explique pas les victimes de ces formes graves (Institut Imagine Paris et Université Rockefeller New York).
A l’opposé, pourquoi de nombreux patients âgés, atteints de maladies graves (cancers, diabète, maladies cardio-vasculaires, etc.) résistent au virus contre toute attente.
Des infirmières, des médecins, des conjoints de patients ne développent pas la maladie et ne sont pas infectés par le virus.
« C’est le hasard », répondent certains. « Faute à pas de chance » diront d’autres. La chance a bon dos !
Jacques Fellay (CHUV et Ecole Polytechnique de Lausanne) confirme ce que nous pensons : « Aujourd’hui, on a les capacités de disséquer les génomes des patients, de découvrir des mutations rares qui les rendent sensibles aux virus en général et au Covid 19 en particulier. »
Par ces techniques, on a déjà identifié depuis quelques années, des variations génétiques responsables de prédispositions à plusieurs maladies infectieuses (grippes, tuberculose, encéphalites, maladies auto-immunes).
Mais le problème immunitaire est probablement encore plus complexe, car il serait étonnant que les réponses immunitaires, toutes différentes, dépendent d’une mutation unique. Nous avons l’exemple des antioxydants qui ne fonctionnent bien qu’ensemble. L’organisme humain est une merveilleuse machine mais très compliquée.
« Mais la question la plus embarrassante est que la moitié des personnes jamais infectées par le coronavirus possèdent une immunité préexistante. De même, pour 50% des personnes n’ayant jamais été infectées par le virus du covid (Duke-NUS Médical school confirmé par les américains dans la revue Cell en avril 2021).
Ces études révèlent que des lymphocytes T spécifiques du SARS-CoV-1 ou 2 sont présents chez plus de 50% des personnes saines et n’ayant jamais été infectées.
On peut donc en déduire qu’il existe une certaine immunité préexistante qui sera différente, plus ou moins forte selon l’individu. Elle semble parfois même sélective selon les races, selon les habitudes alimentaires et mode de vie. Ainsi on a pu évaluer que les risques de développer des cas graves étaient plus importants chez les natifs du Bangladesh (Nature).
« Proviendrait-elle- de contacts avec des coronavirus animaux ? La recherche travaille sur cette piste. » Professeur Terrier (le Monde)
Mais alors qu’en est-il des vaccins ?
Nous tombons ici dans un problème majeur rencontré par la médecine, problème qui explique une grande partie des échecs de notre science médicale : le protocole.
Comment peut-on prétendre soigner des individus tous différents, aux réactions disparates, souvent imprévues avec le même protocole ?
Tous, à ce jour, reconnaissent que les soi-disant « vaccins » ont été faits à la va vite, qu’ils ont sauté plusieurs épreuves expérimentales, etc., en somme, sa fabrication est « bâclée », sans expérimentations sérieuses et surtout sans aucun respect envers l’être humain. Que l’on vaccine ceux qui le désirent mais en leur disant la vérité, en expliquant les pours et les contres, en l’état actuel des connaissances. Tous ces hommes et femmes que l’on trompe scandaleusement se vengeront probablement un jour.
Ceci dit, si on nous présente un vrai vaccin, expérimenté correctement sous contrôle, alors nous accepterons de revoir notre position.
