Urgent ! Mieux se Proteger face à l’epidemie du Coronavirus

Philippe Lagarde

Bloquer les transports, organiser un cordon sanitaire, donner les principes de base de propreté, surveiller sa température, etc. tout cela est très bien mais on sait que les virus agressifs, et le coronavirus « chinois » et tous les mutants actuels (anglais, brésilien, etc.) en fait partie, trouveront toujours le moyen d’échapper à la surveillance, d’autant plus que certains pays sont lents à réagir (la France en fait partie). La médecine occidentale officielle a toujours misé sur le médicament pour résoudre les problèmes sanitaires, parfois avec succès d’ailleurs.


Une maladie virale nouvelle lui pose un problème insoluble. Face à un nouveau virus, elle ne possède aucun vaccin, aucune molécule efficace connue, aucune expérience. Dans le passé, nous avons déjà connu cet état de chose. Mais à notre époque la population ne comprend pas cette impuissance. Le public croit de nos jours que la médecine est infaillible et qu’elle va dans tous les cas nous sauver. La vérité est un peu différente.

Face à une maladie virale nouvelle, une pandémie, deux voies sont possibles et complémentaires :

1- il faut le plus rapidement possible étudier le virus en question et tenter de découvrir ses faiblesses et créer un médicament efficace. Cela la médecine sait le faire. Mais combien de temps faudra-t-il attendre ? Vue la rapidité de la mutation on peut être pessimiste.

2- Se rappeler ce que Béchamps, puis Pasteur ont dit et écrit : « la maladie n’est rien, le terrain est tout ». Ils se basaient sur ceux qui échappaient aux grandes épidémies, ceux qui manifestement résistaient à l’infection.

La deuxième voie est là, à portée de mains. C’est tout simplement la prévention.

Luc MONTAGNIER, codécouvreur du virus du Sida a écrit : « les facteurs environnementaux, la pollution en tête, favorisent l’émergence d’épidémies et de maladies chroniques graves ».

Mais qu’elle prévention ?

La seule que nous puissions faire est de veiller à la qualité des choses que nous apportons à notre organisme : des aliments les plus sains possibles, un complément en antioxydants d’origine si possible naturelle, rendu indispensable par la carence des aliments de notre époque, de l’eau de qualité.

« Sans une alimentation saine, non carencée, le système immunitaire n’est pas en mesure de jouer son rôle de défense de l’organisme et cela aussi bien pour résister à l’infection que pour combattre la maladie déjà établie ». Luc Montagnier.

Ce qui est vrai pour le virus du sida a de grandes chances de l’être aussi pour le coronavirus et toutes les autres épidémies.

L’association de tous ces facteurs qui nous environnent génèrent le stress oxydatif dans nos propres cellules.

Ce stress oxydatif est représenté par des molécules dérivées de l’oxygène, les radicaux libres, qui dérèglent, voire paralysent totalement notre système immunitaire. Il ne faut pas oublier que, de plus, le vieillissement rend encore plus vulnérables les individus.

Nous espérons tous que la propagation de cette nouvelle épidémie sera endiguée, mais nous devons être prudents et méfiants. Nous devons mettre tous les moyens à disposition pour lutter efficacement et rapidement. La vitesse de réaction sauve des vies lorsque l’on parle d’épidémie.

Pourtant, l’un d’entre eux, est encore négligé par notre médecine dite conventionnelle, alors qu’il est probablement très important :

Utiliser l’alimentation et les antioxydants pour blinder le système immunitaire de la population.

Curieux me direz-vous que les laboratoires pharmaceutiques ne s’intéressent pas aux antioxydants, tout comme les politiques ? Les raisons sont simples, logiques et mais révoltantes.
1- Les plantes et les minéraux ne sont pas brevetables, donc sans intérêt pour les financiers.
2- Tout ce qui est prévention va à l’encontre de la politique du médicament qui a besoin de malades pour se développer.

Le dernier livre du Dr. Philippe Lagarde, « il libro d’oro Della prevenzione » paru fin oct. 2019 aux Ed. MIND (pourtant avant le début de l’épidémie), rejoint en tous points ces propos et donne la marche à suivre, la méthode pour se protéger au mieux. En effet pour se protéger correctement, encore faut-il savoir comment et quand les utiliser.

-Le premier point important est la notion de potentialisation qui existe entre les différentes molécules antioxydantes. Retenons donc que tous ces antioxydants, en fait, dépendent les uns des autres. Aussi pour être très efficaces il faut les utiliser ensembles. Séparées ils perdent une grande part de leurs qualités.

Je citerai ici que les principaux antioxydants :
-les vitamines : C, D, K
– N-Acétylcystéine, Méthionine, Inositol, Méthyilsulfonyl Méthane Msm
– les minéraux en particulier Sélénium, Zinc si elle existe.
– des plantes multiples : surtout GINKGO BILOBA, les 3 Ginseng, etc.

-Le second point, veiller à la qualité des produits. Une grande part des antioxydants que l’on trouve sur le marcher sont de qualité médiocre et peu efficaces. Donc vérifier les étiquettes et le dosage des principes actifs. La forme naturelle est préférable à la synthétique, l’emballage en verre teinté, souhaitable pour éviter l’action de la lumière et la conservation des antioxydants.

COMMENT UTILISER LES ANTIOXYDANTS FACE A L’EPIDEMIE

  Matin    Midi      Soir  Durant la journée
VITIGIN COMPLEX 
2 doses avant petit déjeuner

REVITA COMPLEX
1 dose mélangée au Vitigin Complex et eau  

DELTA C PLUS naturelle  
2 gélules

D₃ VEGETAL COMPLEX
ADULTES: il est recommandé de prendre au maximum 12 gouttes par jour
ADOLESCENTS: il est recommandé de prendre au maximum 6 gouttes par jour
ENFANTS À PARTIR DE 3 ANS: il est recommandé de prendre au maximum 3 gouttes par jour

K₁-K₂ VEGETAL COMPLEX
12 gouttes par jour  
Avant le répas
ALFA SULFUR
1 gélule
 
DELTA SELE- ZINC
1 gélules

   
T.M. ECHINACEA  
30 gouttes dans l’eau 3 fois/jour (matin, après-midi et soir)

1 dose = 10 ml

Pour les produits Vitigin Complex et Delta C Plus il est possible d’alterner une semaine de dosage complet, comme indiqué dans le tableau, et une semaine en demi-doses.

Pour les adultes et les enfants de plus de 12 ans.

Ces doses peuvent être maintenues durant plusieurs mois si besoin en cas d’épidémie aigue et rapide ou non jugulée.

Les enfants de plus de 6 ans nous conseillons moitié dose (à l’exception d’Alfa Sulphur qui peut également être pris par les enfants de plus de 4 ans toujours 1 capsule par jour).

Avant 6 ans

DELTA C PLUS 1 gélule par jour

DELTA SELE-ZINC 1 gélule par semaine

Concernant le dosage d’Echinacea dans la teinture mère, voici le dosage:

– de 9 à 12 ans: 12 gouttes dans l’eau 3 fois par jour

– de 6-9 ans: 10 gouttes dans l’eau 3 fois par jour

– de 2 à 6 ans: 5 gouttes d’eau 3 fois par jour.

En cas d’ épidémie, Alfa Sulphur peut être augmenté à 2 gélules par jour.

Pour ceux qui manquent de fer, nous recommandons fortement le fer biodisponible (Ferro Complex assimilabile).

CES CONSEILS s’adressent à ceux qui désirent se protéger et prévenir les épidémies infectieuses en général et virales en particulier. Face à la nouvelle épidémie du coronavirus asiatique il faut l’envisager avec urgence.

Le « traitement » proposé dresse d’une part une protection du système immunitaire, et d’autre part, participe éventuellement au traitement de l’affection en cours, ceci en tant que médecine intégrée (associée à la médecine conventionnelle). Il doit être maintenu tant que l’épidémie n’est pas éradiquée totalement.  

Dr. Philippe Lagarde 

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